Cambodge (3)

Jour 56 Siem Reap - Chong Knies - Battambang

Traversée en bateau de Chong Knies à Battambang

Vélo 15 Kms moyenne 16,5 Km/h - plat

Bateau environ 100 kms

Samedi 09 mars 2013

Réveil à 5h05 car nous avons rendez-vous avec le vendeur de billets à 6 heures devant l'agence. Les vélos sont rapidement prêts avec les bagages, l'agence n'est qu'à quelques minutes de la guest house et la circulation est facile à ces heures matinales. Nous sommes devant l'agence à 5h50 et le vendeur arrive 5 minutes plus tard. Il tape au volet de l'agence pour se faire ouvrir la porte car il doit probablement prendre quelque chose. Nous lui expliquons que nous devons partir car nous mettrons environ 40 minutes et lui en moto nous rattrapera facilement. Nous prenons donc la route et le vendeur nous rejoint environ deux kilomètres avant le port. Nous avançons les vélos devant la rampe qui descend vers le quai mais on nous dit d'attendre car le bateau pour Battambang n'est pas encore à quai. Il n'est toujours pas là à 7 heures et le vendeur rentre à Siem Reap en nous disant que nous serons prévenus lorsqu'il arrivera. Nous lui donnons un pourboire de 2 USD pour l'accompagnement.

En effet le bateau arrive mais nous ne pouvons pas encore embarquer car le batelier doit prendre des tickets à un guichet. Il nous donne ensuite un ticket en échange des billets que nous avons achetés hier. Nous pouvons passer avec le ticket qui doit être une taxe du port car les gardes en prennent une partie. Le vélo de Christine est déposé sur le toit du bateau et nous y ajoutons les nôtres. Nous les attachons bien avec des tendeurs et des cordelettes. Nous avons rassemblés les sacoches dans des grands sacs qui sont déposés par l'équipage dans un coffre avec ceux des autres passagers. Nous sommes moins d'une dizaine au début mais le bateau ne part pas. Nous profitons de l'attente pour acheter quelques vivre (6 beignets = 2 USD et des bananes = 1 USD). Nous prenons aussi un café et deux thés (2,5 USD). Lorsque le bâteau partira à 8 heures au lieu de 7 heures comme prévu nous serons 24 passagers à bord. Trois autres passagers viendront grossir l'effectif en cours de parcours. Nous sommes maintenant bien serrés dans ce petit bateau.

Le parcours commence par un chenal boueux heureusement peu fréquenté à ces heures matinales mais le bateau garde une allure lente malgré tout. Nous débouchons sur le lac après un quart d'heure de navigation et traversons un premier village flottant. C'est le village qui est visité par les très nombreux bateaux chargés de touristes qui partent de Chong Knéas. Nous traversons assez rapidement le village en passant devant l'école à l'heure de la rentrée.

Suit une bonne demi heure de navigation sans voir la côte. Nous sommes sur un lac avec une hauteur d'eau parfois inférieure à un mètre à cette saison mais on se croirait en pleine mer. Nous débouchons ensuite sur l'estuaire, assez large au début, d'une rivière que nous suivrons jusqu'à la fin du voyage qui durera 8h30 jusqu'à Battambang. Au début les rives sont bordées de maisons flottantes avec beaucoup de vie autour et c'est très beau. Ceci dure pendant environ deux heures avec des passages sans maisons et sans eau visible- Le bateau avance sur une mer de lotus (je crois car les feuilles y ressemblent mais il n'y a pas de fleurs) et le pilote a parfois bien du mal a en faire sortir le bateau. Aussitôt arrivé dans une zone plus adaptée aux bateaux il fait quantité de manœuvres, avant et arrière, pour détacher toutes les plantes qui se sont accrochées à la coque.

Vers midi le bateau fait une petite pause boisson dans une gargote flottante. Nous prenons deux coca et une bouteille de boisson à base de thé (2,5 USD le tout).

Suit une rivière étroite difficilement navigable sur laquelle le bateau avance lentement et doit souvent manœuvrer. Sur la dernière heure la navigation est plus facile. Nous arrivons en ville vers 16h30. Ensuite il nous faut environ une demis heure pour monter vélos et bagages au bord de la route par un long escalier de fer et les équiper.

Nous partons ensuite à la recherche d'une chambre et nous en trouverons une à notre convenance à la troisième visite. C'est une grande chambre pour trois personnes avec ventilateur. L'hôtel est neuf et très propre et les vélos peuvent passer la nuit à l'intérieur dans une annexe. La chambre est 13 USD la nuit.

Nous ressortons dîner vers 19h30 et nous nous dirigeons vers la rue des restaurants. Ce sont des restaurants pour touristes plus chics que ceux que nous fréquentons habituellement mais comme nous n'avons pas beaucoup mangé aujourd'hui nous n'allons pas chercher plus loin. Nous prenons des tagliatelles marinaras pour Michel, une assiettes de légumes crevettes et riz pour Christine et des nouilles  poulet pour moi (excellente avec des poivrons et de l'oignons). Nous buvons aussi chacun une bière pression. Nous payons 12,50 USD le tout.

En rentrant nous nous arrêtons devant un autre restaurant pour boire. Nous prenons finalement chacun un fruit mixé avec de la glace et une salade de fruits (6,9 USD le tout).

Nous rentrons à l'hôtel vers 23 heures bien fatigués après une journée longue et assez fatigante.

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 Jour 57 Battambang visite

Vélo 24 Kms moyenne 11,2 Km/h - plat

Dimanche 10 mars 2013

Réveil naturel à 7 heures ce matin et, comme les autres dorment, je me mets devant le PC pour charger les photos sur le site. Il y en a beaucoup la connexion n'est pas des plus rapide alors il faut du temps. Il ne n'en reste que deux lorsque Michel se lève. Christine joue les prolongations et j'ai largement terminé lorsqu'elle émerge.

Nous sortons en ville vers 8h30 pour prendre le petit déjeuner. Nous nous installons dans un restaurant local et, comme personne ne veut de soupe ce matin, nous prenons 2 cafés noirs et un café au lait avec des beignets. Nous faisons aussi honneur à l'excellent thé qui était sur la table (4 USD le tout).

Nous visitons ensuite quelques agences de bus. Elles sont toutes à proximité de notre hôtel et, après en avoir vu deux, nous comprenons que la seule qui propose des bus à deux étages, qui sont les seuls à pouvoir prendre trois vélos dans la soute, est juste en face de l'hôtel. Il y a encore des places pour le départ de 11 heures aujourd'hui mais nous voulons encore réfléchir car il est déjà 9h30 et nous n'avons rien vu de la ville.

Nous allons faire un tour à la gare de chemin de fer. Elle est abandonnée et les voies sont en très mauvais état. Nous ne pouvons pas communiquer avec les gens que nous trouvons sur place mais nous sommes certains qu'il n'y a plus de train depuis longtemps dans cette ville.

Nous faisons ensuite un tour du marché pour faire quelques photos et acheter quelques provisions : Un kg d'oranges du Cambodge (il y en a qui sont importées de Thaïlande) à 7 000 Riels- Un kg de bananes à 3 000 Riels- Un demi kg d'autres fruits qui ressemblent à des mangues miniatures à 10 000 Riels le kg- Nous achetons aussi 6 beignets pour 1,5 USD - un sachets de gaufrettes à 3 000 Riels - Un kg d'assortiment de fruits secs et de nougats à 14 000 Riels et un kg de biscuits locaux varié à 10 000 Riels.

A 10h20 Nous revenons à l'agence de bus pour prendre nos billets pour Phnom Penh mais il ne reste que 2 places. Nous décidons rapidement de rester un jour de plus, nous n'avons d'ailleurs pas trop le choix, et prenons 3 billets pour demain 9h30. Il y a un bus qui part à 7 heures mais il n'est pas certain que ce soit un bus à deux étages. Si c'est le cas nous pourrons le prendre. Nous nous teindrons donc prêts pour 7 heures car cela nous ferait arriver deux heures et demie plus tôt à Phnom Penh. Nous pourrions probablement mieux utiliser ce temps dans l'après midi qu'içi le matin avec un bus à prendre. Le prix par vélo est de 6 USD et le prix par personne est de 5 USD ce qui fait un total de 33 USD pour nous trois.

Nous partons ensuite en vélo en direction d'une station de Bambou train. Nous arrivons à une station qui est à environ trois kilomètres au Sud Est de la ville. Pour y arriver nous suivons une piste sans aucune indication sur un kilomètre environ. De nombreux trains démontés attendent les clients qui sont maintenant tous des touristes (nous n'avons pas vu de locaux sur le tronçon). Un policier surveille la station et il nous explique en français, qu'il parle correctement, ce qui est proposé. Le train parcours la voie sur 7 kilomètres jusqu'à une briqueterie qui peut être visiter gratuitement et ensuite il revient. Le prix est de 5 USD par personne. C'est un peu cher car c'est le prix du billet de bus entre Battambang et Phnom Penh avec confort et distance sans communes mesures car il y a environ 300 kilomètres entre ces deux villes. Nous jouons les parfaits touristes et payons pour voir. Nous partons rapidement et le parcours est comparable par endroit à un manège de foire. Les rails sont mal alignés et la planche sur laquelle nous sommes assis s'incline et saute. Lorsqu'un autre train se présente en face tout le monde s'arrête et un des deux trains est rapidement démonté puis remonté après le passage de l'autre. Le train s'arrête entre quelques maisons avec des boutiques de vente de souvenirs et de boissons. Des enfants nous accueillent et nous proposent la visite de la briqueterie. Un garçon d'une dizaine d'année parle un peu français et connais le nom des principales villes – Paris – Marseille – Lyon – Bordeaux – mais il ne connaît pas Saint Etienne. Cinq enfants nous accompagnent et se disputent le privilège des explications. Tous parlent suffisamment bien anglais pour expliquer le peu qu'il y a dire sur cette fabrique très rudimentaire qui d'ailleurs ne fonctionne pas en ce moment car la machine principale qui malaxe l'argile et le pousse à travers un moule est cassée depuis deux mois. Il est possible aussi que l'argile soit trop sec à cette saisons pour être extrait du sol à la main. Sinon l'installation comprend 2 fours chauffés avec l'enveloppe des grains de riz. Les briques creuses, avec 4 trous, coûtent 250 Riels (environ 5 centimes d'Euro) et les pleines 300 Riels. Nous laissons 500 Riels à partager entre les enfants et 2 000 Riels au chauffeur du Bambou train. Nous buvons aussi 2 coca et 2 petites bouteilles d'eau (2 USD).

Nous rentrons ensuite sur Battambang et nous nous installons à une gargote de marché pour déjeuner car il est déjà 15 heures. Michel et moi ne prenons que trois petites assiettes de dessert. Il y a des bananes avec un sirop, un dessert excellent avec un jus de coco et un riz sucré avec du jus de coco. Christine prend deux petites assiettes de dessert (les mêmes que nous sans le riz sucré) et un riz poulet mouilles légumes. Nous payons 8 500 Riels le tout. Nous achetons aussi 3 petites bouteilles de jus de canne à sucre (6 000 Riels).

Nous visitons ensuite quelques pagodes dans la ville et nous achetons 2 ananas sur le marché. Il nous reste à retrouver l'hôtel qui doit être tout proche mais nous ne savons pas exactement où. Le ciel était menaçant depuis quelques heures et il se met à pleuvoir. Nous devons attendre environ 30 minutes pour rentrer à l'hôtel qui était finalement à quelques centaines de mètres.

Après une bière à l'hôtel nous sortons en ville pour le dîner. Il est déjà 21 heures et la plupart des petites gargotes sont déjà fermées. Nous choisissons le restaurant où nous avons pris les desserts hier. Michel choisit à nouveau des spaghettis avec de la viande, Christine prend des nems et moi un poulet ananas et légumes avec du riz. En boisson nous prenons une petite bouteille d'eau, une banane mixée avec du chocolat et un jus d'orange (10,75 USD le tout).

Nous rentrons à l'hôtel vers 23 heures. Le réveil sonnera à 6 heures demain matin pour que nous soyons prêts pour le bus de 7 heures s'il peut prendre nos vélos.

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 Jour 58 Battambang – Phnom Penh en bus

 Vélo 9 Kms dans Phnom Penh moyenne 11 Km/h - plat

 Lundi 11 mars 2013

Réveil à 6 heures ce matin car nous devons être prêts si le bus de 7 heures pour Phnom Penh est à étages. Nous préparons rapidement nos affaires car nous voyons le bus de la chambre et il est bien à étage. La dame qui vend les billets, la même qu'hier, nous confirme que nous pouvons partir à 7 heures. Les sacs sont rapidement descendus et l'hôtel payé. Comme il suffit de traverser la rue pour accéder au bus c'est aussi très rapide. Les employés de la société de bus commencent le chargement dans la soute mais nous surveillons et changeons la position de nos vélos qui avaient été couchés et posaient sur les dérailleurs. La soute est grande mais il faut laisser l'accès pour deux ou trois motos qui doivent aussi être du voyage. Immédiatement après les vélos une moto est chargée et une deuxième le sera au premier arrêt du bus.

Le bus part vers 7h10 avec quelques passagers seulement mais il se remplira très vite. Il est assez confortable et climatisé. Malgré la climatisation il fait assez chaud et nous transpirons un peu. Nous sommes dans un bus à étage et nous avons pris des places plutôt sur l'avant du bus. Nous avons donc une bonne vue sur la route et sur ce qui s'y passe. De cette position nous comprenons mieux pourquoi bus et camions utilisent autant le klaxon.La circulation sur la route n'est pas très dense mais il y a quand même beaucoup de véhicule lent (motoculteurs avec char, motos qui tirent une remorque, attelages de boeufs, vélos etc..) et la route qui est une nationale n'a qu'une voie dans chaque sens et parfois, souvent même, des trous qu'il faut éviter. Le chauffeur est obligé de réguler sa vitesse pour ne pas doubler un véhicule plus lent que lui lorsqu'il croise un autre véhicule ou que la partie gauche de la route n'est pas praticable. Lorsqu'il peut doubler il klaxonne pour prévenir le véhicule qui est doublé afin qu'il ne fasse pas d'écart (pour éviter un trou par exemple). Les traversées de petites villes et de villages sont encore plus délicates car c'est toujours très encombré. Nous avons souvent pester contre ces coups de klaxon mais aujourd'hui nous nous disons que subir les klaxons n'est rien en comparaison de la conduite de ce car dans ces conditions qui demandent une vigilance sans relache.  

Il fait une première halte d'une vingtaine de minutes à mi parcours vers 11 heures. Il y a des toilettes et des restaurants avec une gargote qui vend des criquets grillés. Le prix est de 3 000 Riels pour une dose qui représente à peu près un verre de 150 CC. Nous voudrions seulement goûter et je lui demande 6 criquets. La vendeuse nous les offre et ne veut pas accepter le billet de 1 000 Riels que je lui donne. Un Cambodgien qui à vécu en France et que nous venons de rencontrer intervient. Je ne sais pas ce qu'il lui dit mais elle accepte le billet. Nous prenons aussi deux coca (1,5 USD).

Une deuxième halte suivra pour laver le bus sur une aire prévue à cet usage. Il y a aussi des toilettes et un restaurant.

Nous arrivons à Phnom Penh vers 14h30. Le bus décharge les bagages dans un bazar indescriptible (sacs de riz, camion grue qui manipule des poutrelles métalliques, Tuk Tuk et foules de rabatteurs etc). Comme d 'habitude une foule s'agglutine autour de nos vélos et il n'est pas facile de les remettre en état de rouler. Nous y arrivons quand même et prenons la route au hasard pour essayer de trouver un endroit plus calme. Nous faisons une halte un peu plus loin pour mettre le GPS et décider dans quelle direction nous devons aller. Finalement nous prenons la direction du Mekong. La circulation est dense mais lente et nous nous en sortons bien. Nous prenons deux nouvelles boissons (2 coca pour 1,5 USD) au bord du Mekong et faisons quelques photos de l'endroit qui est joli. Nous achetons aussi quelques petits fruits (1 000 Riels).

Nous faisons ensuite le tour de hôtels du coin. Les prix sont plus élevés qu'habituellement et nous choisissons une chambre avec 3 lits, ventilateur et eau chaude, pour 20 USD la nuit. Nous ne prenons qu'une nuit car nous avons beaucoup séjourné en ville ces derniers temps.

Le soir nous mangeons dans une petite gargote à proximité de l'hôtel. Nous prenons chacun une bière, Michel et moi prenons une assiette de Lotcha (nouilles cambodgiennes) avec œuf, Christine prend des Lotcha avec légumes. Nous prenons aussi 6 Kochay (beignets farcis au légumes) et 3 Pates (pâté à base de viande et pate). Lotcha et Kochay sont très bons mais les pates sont assez fades. Nous payons 32 500 Riels le tout.

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Commentaires (5)

1. magali et jp 13/03/2013

Bonsoir à tous,
Nous vous écrivons sous la neige ...... ici 2cm mais les T° sont négatives !!! Il faut ramener le concept du train démontable ....... ici la SNCF est bloquée cause intempéries (rails verglacées ...)
Bien comptant de vous lire et de découvrir le pays. Nous constatons que Christine ne se laisse pas abattre pour la nourriture !!!! Bonne continuation à tous
les toulousains

2. GABRIEL Etienne 13/03/2013

Salut à vous deux. Merci beaucoup pour votre carte. C'est sympa de ne pas oublié les cyclos de St-Just. Je vous envie un peu. Bon courage et bonne fin de voyage.
Etienne-60 %

3. Massard Paul et Anne Marie 13/03/2013

Salut Jean ainsi que ton équipe de baroudeurs .Je ne sais toujours pas si les criquets sont savoureux ?Mais on va te faire une entrecôte en arrivant tu l'auras bien méritée..Nous vous envions le temps qui est désastreux chez nous .Nous avons fait de la luge dans ton pré et construits un bonhomme de neige avec Eva son copain et Alexandre .Je ne sais pas insérer une photo dans le message .Bonne continuation à tous les trois

4. Françoise 12/03/2013

Christine, Petite pensée pour vous. Je suis avec un collègue de travaille. Son épouse est originaire de Battambang et toute sa belle famille habite las-bas! C'est fort quand même!!! Je lui ai montré vos photos... profitez bien et bonne continuation!
bises
Françoise

5. magali et jp 10/03/2013

Nous avons l'impression de nous reveiller avec vous au cambodge entre les commentaires et les photos ......... nous sentons les odeurs du marché et la moiteur du climat !!!! je vois que ce jour ne sera pas frugal et très gouteux ......... mais il faut prendre des forces pour le pédalage !!!!
J'ai oublié l'autre jour de mettre ma blague .... nous voulons "ankor, ankor" des images et des commentaires mais vous avez changé de secteur alors elle est moins drole !!!!!
bises à tous les trois
les toulousains
Ps : je laisse de la place pour les autres !!!!

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